J’ADORE NIORT #7
Septembre / Décembre 2023

Édito Retour en force

Les derniers mois ont été marqués par un climat complexe en France, où les émeutes et les troubles ont parfois obscurci notre quotidien. Dans ces moments difficiles, les festivals d’été avec qui nous sommes partenaires et que nous vous avons fait suivre sur nos réseaux, ont joué un rôle essentiel en nous offrant une échappatoire, un moyen de nous évader et de retrouver un peu de légèreté. C’est dans cet esprit que nous vous présentons notre nouveau numéro de rentrée, basé sur l’optimisme ! 

Au-delà des tumultes et des agitations, la scène artistique de notre région a continué de briller de mille feux. Nous sommes fiers de vous présenter un sommaire riche et diversifié, où chaque page est une invitation à l’évasion et à la découverte. Car c’est dans ces moments de partage, de création et de célébration que se trouvent notre énergie, notre force collective pour surmonter les épreuves.

En couverture, nous mettons à l’honneur Jain, cette artiste talentueuse qui va enflammer la scène de Poitiers le 10 novembre prochain et de Bordeaux le 17 novembre . Grâce à son énergie communicative et sa musique envoûtante vous serez transporté au-delà des soucis du quotidien.

Mais notre magazine ne se limite pas à l’actualité musicale. Nous abordons toujours des sujets de société qui nous interpellent et nous invitent à réfléchir, preuve en est avec notre dossier sur « le culte du corps chez les jeunes adultes », une préoccupation grandissante dans notre société. Cette enquête approfondie nous permet de mieux comprendre les enjeux et de sensibiliser à cette réalité qui touche la jeunesse.

Retour également sur la crise énergétique avec un entretien auprès de Séolis, entreprise en plein essor qui nous ouvre les portes de l’explosion de l’énergie. Dans un monde en constante évolution, il est essentiel de comprendre les enjeux et les solutions innovantes qui se dessinent dans ce domaine crucial.

 Nous n’oublions pas les voix engagées et percutantes de notre époque. Redouane Bougheraba nous offre son regard sur son rapport à la scène et le succès; Jérémy Nadeau, artiste polyvalent, ainsi que Tania Dutel, humoriste audacieuse, nous font voyager à travers leurs univers captivants et singuliers.

D’ici là, on se retrouve dès le 27 septembre dans les rues de Niort pour le retour du festival Panique au Dancing, véritable carrefour d’événements et de découvertes artistiques à ne pas manquer, une invitation à sortir, à vibrer et à s’évader dans un monde de créativité et de passion. Parfait pour notre rentrée !

SOMMAIRE

14

En couv’

Jain, Purple Reine

32

DESIGN

Classique chic !

20

société

L’infatigable  » quête du muscle « 

62

ATTITUDE

Niortais atypique

66

Société

L’art de la renaissance

90

MUSIQUE

Julie Gayet veut un festival  » proche du grand public « 

98

10%

Nicolas Taiana

Directeur de la publication et créateur : Charles Provost
Photographie : Frédéric Pierre @realkafkatamura-photographie.fr /
Lambert Davis @ lambert.davis
Comité de rédaction : Comité de rédaction : Karl Duquesnoy, Pascal Bertin, Charles Provost, Albert Potiron, Arnaud Trouvé, Célia Attou Jolly, Célia Prot, Céline Perche, Alice Morelli, Maxime Delcourt, Mélanie Bauer, Kelly Le Guen, Hélène Morisseau, Mélanie Durand, Aurélie Cordonnier, Lilas Courrot, Frank David, Mateo Lapeyre
Conception Graphique : @bang-design.fr
Distribution : Département 79 & Agglomération & La Rochelle Liste complète @jadoreniort.fr
Responsable Partenariats :
Floriane Gineste

JAIN Purple Reine

Après quatre ans d’absence, la chanteuse française, star à l’international, rompt enfin le silence avec un troisième album pour lequel elle repart en tournée. Sur « The Fool », le métissage des rythmiques africaines et arabes laisse la place à sa vision de l’âge d’or de la pop des années 70 qu’elle a redécouvert durant le confinement. Un virage tubesque qu’elle conjugue à des textes plus personnels, portés sur l’amour et une certaine conscience de la planète. Cosmic Jain est née !

L’art de la renaissance

Ils n’ont pas d’argent plein les poches mais de l’or dans les mains. Vieux, moches, inutiles, les objets et matières, promis à la déchetterie ou à un usage invisible, renaissent dans leurs ateliers pour devenir uniques et singuliers. Anita Fonteneau relooke, Léonce Robineau restaure faïences et porcelaines, Chrisptophe Desnoielle, alias Rengoku, sculpte le zinc. Ils subliment tout ce qu’ils touchent par un savant dosage de talent, savoir-faire, travail minutieux, créativité et tendance.

 Damien Maubert La musique en images

Originaire de Melle, dans les Deux-Sèvres, Damien Maubert, âgé de 24 ans, s’est fait connaître grâce à plusieurs court-métrages tels que « Si facile » et « Appel manqué ». Par la suite, il a déménagé à Paris pour collaborer avec des artistes de divers genres musicaux, notamment dans les domaines du rap, de la pop et de l’électro. Nous avons eu l’occasion de rencontrer ce jeune réalisateur qui a notamment travaillé aux côtés de Spider Z, 2TH et Big Flo & Oli…

Julie Gayet veut un festival « proche du grand public »

Depuis trois ans, Julie Gayet se rend chaque mois de juin à Rochefort. Comme Jacques Demy pour ses « Demoiselles », la comédienne, réalisatrice et productrice a choisi la Cité de Colbert comme décor pour son festival Sœurs jumelles dont elle est la présidente. Ce rendez-vous, qui a connu sa troisième édition du 27 juin au 1er juillet, est une véritable rencontre de la musique et de l’image. Pendant cinq jours, acteurs de la musique et de l’image, professionnels, étudiants et grand public se sont retrouvés pour échanger autour de concerts, de conversations artistiques, de projections et de rencontres professionnelles. Au lendemain d’une table ronde avec Benoit Basirico, spécialiste de la musique au cinéma, début juin, Julie Gayet, toute souriante et vêtue de son tee-shirt « Les Demoiselles de Rochefort », a répondu à quelques questions à l’Alhambra Studios.

L’art de la renaissance

Ils n’ont pas d’argent plein les poches mais de l’or dans les mains. Vieux, moches, inutiles, les objets et matières, promis à la déchetterie ou à un usage invisible, renaissent dans leurs ateliers pour devenir uniques et singuliers. Anita Fonteneau relooke, Léonce Robineau restaure faïences et porcelaines, Chrisptophe Desnoielle, alias Rengoku, sculpte le zinc. Ils subliment tout ce qu’ils touchent par un savant dosage de talent, savoir-faire, travail minutieux, créativité et tendance.

Julie Gayet veut un festival « proche du grand public »

Depuis trois ans, Julie Gayet se rend chaque mois de juin à Rochefort. Comme Jacques Demy pour ses « Demoiselles », la comédienne, réalisatrice et productrice a choisi la Cité de Colbert comme décor pour son festival Sœurs jumelles dont elle est la présidente. Ce rendez-vous, qui a connu sa troisième édition du 27 juin au 1er juillet, est une véritable rencontre de la musique et de l’image. Pendant cinq jours, acteurs de la musique et de l’image, professionnels, étudiants et grand public se sont retrouvés pour échanger autour de concerts, de conversations artistiques, de projections et de rencontres professionnelles. Au lendemain d’une table ronde avec Benoit Basirico, spécialiste de la musique au cinéma, début juin, Julie Gayet, toute souriante et vêtue de son tee-shirt « Les Demoiselles de Rochefort », a répondu à quelques questions à l’Alhambra Studios.